Quand
quelqu’un veut s’emparer de l’esprit d’autrui, il devra
l’occuper, ce qui lui fera laisser le sien en panne.
Voire,
l’abandonner à son sort, tellement un voilier à la cape.
Du
vent viendra, qui le fera sien, en conquérant donc deux esprits…
D’autres vents y multiplieront le nombre.
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