vendredi 21 février 2020

NI POUR LES DIEUX LES CHOSES MARCHENT COMME IL FAUT

   Avant les temps que sont venus, pour les dieux, les choses étaient claires : il y avait des pécheurs (et des pécheresses bien entendu) et les autres.
 

    Pour pécheurs, et pécheresses, il avait des barèmes punitifs, selon la qualité de leurs fautes, dont certains dieux, il faut le dire, ils étaient trop cruels, si maintenant, on se tient au dire de leurs prêtres et prêtresses ; toute une éternité en punition pour ne pas se repentir juste au temps opportun, c'est trop quand même. Les autres, aux esprits endormis, il faillit uniquement les coucher, donc ils dormiraient pour toujours sans dieu gêner.


   
De nos jours, la chose s’est bien compliquée ; les dieux*, les pauvres, ignorent à quoi s’attendre sur ce qui est ou pas péché.

 *Chez les divinités, le machisme est prépondérant.

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