Le
compteur de la vie durant ne s’arrête pas de nous remplir la
besace des souvenirs ; dans une poche les bons, dans l’autre
les méchants, et quand celui-là déborde, il nous fait feuiller
dans celle-là.
Dans la mienne, je trouve dans la poche des bons souvenirs un climat paisible, mais dans celle-là des méchants, dont règne Zeus, règne un ambiant assorti aux souvenirs qu'il y garde, dont ils retentissent à sa guise. Ceux-là qui me donnent envie de m’évanouir ; voire me suicider.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire