Hier au soir, j’ai aperçu un rare papillon ou quelque chose comme ça,
qui se croit touché de la divine providence ; ce qui lui fait
se croire papillonner en état de raison.
Soit, qu’il croit fermement avoir toujours la raison. Je crois qu’il croit que la raison est lui ; et moi, je lui donne la raison : la sienne, autant qu’à n’importe qui, même que l'on ne soit pas un papillon, sans condition aucune. La condition viendra par-ci par-là, parmi lesquels chacun a sa raison ; donc, tous nous devons admettre, respecter, les uns, les autres, nos différentes raisons.
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