Face
à face, à ma
face.
En effaçant les songes qui m’occupent
En me faisant respirer
son
haleine fraîche
Qui
rafraîchit
Qui
oxygène ma machine ?
Celle-ci
où je fabrique ces songes-là
Et, quand le vent est passé ?
Dans
tout mon être,
tout
tourbillonne de nouveau.
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