En sortant chez moi, je me croise souvent avec un chien qui promène un sourire et lorsqu’on se trouve face à face, on s’arrête. —Bonjour, je lui dis. Il entrouvre un petit peu sa gueule, juste pour tirer le bout de la langue…
Le sourire éclate !
Salutations faites, on reprend chemin opposé chacun. Donc, en s’éloignant, toujours que je tourne la tête en arrière, mes yeux se trouvent avec ceux du promeneur ; elle « lui sourit » et ne prête ses yeux qu’à son compagnon.