Aung San Suu Kyi est libre ! Tout le monde, celui qui l'en est, se réjouit ; moi, je ne peux pas être ni content, ni mécontent parce que je ne connais rien sur l'affaire de cette femme, ni à elle, car je ne sais pas quand même si c'est, qu'elle a conspiré, difficilement de l'en faire chez les conspirateurs ou volé dans la caisse commune, aussi difficile chez un gouvernement, qui comme tous, y a ses propres intercepteurs. Ceux-ci qui n'admettraient pas de bon gré de la concurrence. De toutes les manières, je dois accepter, sincèrement, d'être content. Je serais aussi énormément, immensément plus heureux, que tout le monde fût libre… j'adore la liberté ! Ici est la question, de pourquoi moi, sans détester ni aimer non plus ; je ne déteste personne, car cela serait les mettre en valeur, auxquels je ne les aime pas, non plus, parce que je les méprisse ; en tout cas il me fait sourire que, tous qui depuis les médias dont ils contrôlent, faisant distorsion de toute information à leurs profits, en voie de se maintenir dans le pouvoir administratif, dès où ils rendent vassalité au pouvoir, qui les paie avec ce qu'ils entendent le luxe, le sexe ou de rares nourritures entre autres choses ; ils ne sont, plus ou moins, que comme chevaux d'une sélecte écurie dont leurs patrons ont pour bizarre plaisir les faire concurrencer montés par unes petites personnes, comme j'étais en train de dire, nos gouvernants qui contrôlent, dénaturent ; empêchent ou l'interdissent (poliment) d'autres informations que celles-là qui ne soient pas maîtrisées à eux, parlent de liberté d'expression, et ce qu'est plus difficile, sans rougir ; je ne sais pas si c'est qu'ils ont de très bons maquilleurs ou qu'ils manquent de sang, peut-être, chaud.
C'est méchant que, à cause de ces manipulateurs, puisse quelqu'un, sinon douter, se mettre à réfléchir sur la mise en liberté d'une personne.