Dans la malheureusement oxydée culture, la nôtre, dont les hommes, au fur et à
mesure qu’ils se sont allés croyant eux-mêmes, chacun, Dieu. La
chose est arrivée, qu’à présent il y ait plus de dieux que de
croyants en le Dieu tout suprême.
L’heure est grave, car, par ici, les croyants, à l’usage, soit ils ne croient pas, ou bien supposent, ce qui est autant de même que ne pas croire ; ceux-ci qui de plus en plus sont moins et, lesquels y restent découragés, s’en sont allés faisant abonner à l’indigence intellectuelle.
Pourtant, des croyants venus d’ailleurs croient tellement en Dieu qu'ils changeront volontiers leur vie sur terre par celle dans le paradis ; pas sans préalablement se défaire de la concurrence, soit on leur prendra leur place-là.
